Réformer les institutions et garantir la souveraineté du peuple

Nous le voyons, la gestion politique et médiatique de la crise prétendument sanitaire a mis en évidence les limites du système et les dérives auxquelles il nous expose.

Peur, maltraitance, censure, propagande, répression, corruption, conflits d’intérêts, destruction du lien social, exclusion, suspension de professionnels, ont progressivement pris place dans notre quotidien et chacun mesure à quel point les techniques redoutables d’ingénierie sociale ont progressivement emmené beaucoup de nos concitoyens à vivre dans la peur, rejeter les autres, et tolérer des mesures liberticides qu’aucun de nous n’auraient imaginées possible dans un état de droit et dans la patrie des droits de l’hommes et des idées héritées du siècle des lumières qui fondait notre nation et défendait notre humanité commune comme un bien sacré.

Depuis lors, nous comprenons que nos attentes et nos aspirations supérieures ne sont plus écoutées, que les instances supposément démocratiques ne nous représentent plus ni ne nous défendent. L’Assemblée nationale est devenue une simple chambre d’enregistrement des lois proposées par le gouvernement, elles-mêmes dictées par le Président en conseil de défense totalement opaque. La justice se montre inféodée au gouvernement aussi bien qu’indifférente à la Constitution et aux droits humains. La presse a renoncé à son rôle de contre-pouvoir critique pour devenir une source de propagande au service des intérêts dominants.

Il nous faut même admettre l’impensable : que la croyance que nous avions d’un état protecteur envers ses citoyens n’a plus de réalité. La médecine ne soigne plus, la science connaît une instrumentalisation sans précédent en faveur d’intérêts dont elle dépend pour son financement. L’éducation endoctrine, maltraite les enfants et les jeunes pendant que les universités répriment le débat d’idées en faisant le jeu d’une idéologie de plus en plus totalitaire.

Bien au contraire, à mesure que se révèles les scandales liés au GAFAM, aux cabinets de conseils, les conflits d’intérêts, les dérives démocratiques, la propagande médiatique, la destruction de nos services publics, la perte de notre souveraineté en tant qu’état dans une Europe prédatrice et d’organismes supranationaux au service d’intérêts supérieurs d’une petite élite se révèle chaque jour davantage.

Nous le voyons aujourd’hui, nous sommes à une charnière de notre temps où nos droits et nos libertés fondamentales, si chèrement acquises au fil des siècles seront désormais assujetties à la simple désactivation d’un QR-code si nous n’y prenons garde. Celles et ceux qui en doutaient hier ne peuvent le contester aujourd’hui, le crédit social est l’avenir programmé qui nous est réservé. Par un choix de vote non éclairé, par notre silence ou par notre abstention, cela reviendra à le cautionner.

Oui, le monde actuel évolue dans un sens qui n’est plus favorable à l’Humain, et ceux qui prennent les décisions à notre place nous considèrent comme des objets. Un monde où notre humanité profonde sera progressivement contestée, un monde où la bienveillance ne sera plus une valeur cardinale et où nos principes de libertés, d’égalité et de fraternité seront considérés comme d’antiques reliques d’un autre temps.

Il est urgent de retrouver et de garantir notre idéal de liberté, de probité, d’égalité et de cohésion sociale, tellement mis à mal depuis 5 ans. Il est urgent de réformer les institutions et de garantir la souveraineté du peuple.

Ce ne sont rien de moins que les ambitions du parti créé par Martine Wonner : ENSEMBLE POUR LES LIBERTÉS, pour nous et pour les générations futures.

C’est tout le sens de mon engagement.

Martin GAUMONT
Candidat Ensemble Pour les Libertés
Soutenu par Martine Wonner

 

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